Quelles sont les influences de La Fontaine?

Quelles sont les influences de La Fontaine?

La Fontaine s’inspirent de plusieurs grands fabulistes : Le premier est Esope (conteur grec du VI ième siècle avant JC) comme lui, Jean de la Fontaine utilise des animaux personnifiés comme personnages et lui aussi veut faire passer des morales aux lecteurs.

Comment comprendre les fables de La Fontaine?

Les Fables sont des apologues – une apologue est un court récit fictif comprenant une morale, à visée éducative – au même titre que les contes. Ainsi, elles ont pour but d’éduquer les enfants, mais s’adressent également à un public adulte, fournissant une morale et une critique sociale et politique.

Quel sont les traits principaux de la fable?

L’un des traits principaux de la fable est qu’elle se termine toujours par une morale claire et précise. Elle conclut le récit et l’histoire entre les personnages, mais surtout, elle ouvre la porte à une réflexion sur la société et les mœurs.

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Comment se comportent les fables dans la société?

Les fables comportent toujours une morale qui donne à réfléchir à un sujet important de la société ! La fable, généralement, s’occupe du monde animalier (et c’est alors, comme dans Le Renard et la Cigogne, une allégorie où les animaux parlent et se comportent comme des humains), ou bien des éléments de la Nature ( Le Chêne et le Roseau ).

Qui est le véritable père de la fable?

Le premier auteur considéré comme fabuliste est Hésiode, qui dans sa Théogonie et son Les Travaux et les Jours, raconte les aventures des dieux et des Hommes et livre une certaine vision du monde et de la société humaine. Vient ensuite Ésope, considéré comme le véritable père de la fable, au moins dans sa forme.

Qui est le plus grand représentant de la fable en France?

Jean de La Fontaine est sans aucun doute le plus grand représentant du genre de la fable en France ! « L’apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme, la moralité. […] Du temps d’Ésope, la fable était contée simplement ; la moralité séparée et toujours ensuite.

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