Quelle est la morale du Laboureur et ses fils?

Quelle est la morale du Laboureur et ses fils?

Elle s’achève par une morale explicite : « Que le travail est un trésor ». L’effet d’écho entre les impératifs de l’auteur et ceux prononcés par le Laboureur (« Gardez-vous », « Creusez, fouillez, bêchez » ) crée une démultiplication du message, ce qui montre que la visée didactique est omniprésente dans cette Fable.

Qui a écrit le poème Le laboureur et ses enfants?

Le Laboureur et ses enfants est la neuvième fable du livre V de Jean de La Fontaine, situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668. Cette fable fait l’éloge du travail. La source de cette fable est un apologue d’Ésope du même titre.

Où la main ne passe et repasse?

– Jean de La Fontaine. Creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place – Où la main ne passe et repasse. Cette phrase de Jean de La Fontaine contient 16 mots. Il s’agit d’une citation courte.

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Qui manque le moins?

C’est le fond qui manque le moins, mais ce sont les fonds qui manquent le plus.

Est-ce que laboureur est un métier?

Laboureur n’est pas un métier ou une profession au sens où on l’entend aujourd’hui. Il s’agit plutôt d’un statut social, qui au départ dépendait effectivement de la détention du labour, mais qui par la suite dénommait un paysan aisé, sous-entendu par rapport à ceux qui l’entouraient.

Qui a dit Travaillez prenez de la peine c’est le fonds?

Travaillez, prenez de la peine : C’est le fonds qui manque le moins. Un riche Laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins.

Comment écrire fond?

Il faut écrire : Les colis sont rangés au fond du magasin. Le « fond » du magasin désigne la partie la plus reculée du magasin en question : on écrit « fond », sans « s ».

Quel est le travail du laboureur?

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En français moderne, un laboureur est une personne qui laboure la terre, sans notion de statut. Sous l’Ancien Régime et jusqu’au XIX e siècle, « laboureur » désignait un statut, celui du paysan qui possédait la terre qu’il cultivait et au moins un attelage, cheval ou paire de bœufs, et charrue.

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