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Où Peut-on étudier une marge passive et quelle est sa structure géologique?
La marge passive est une structure importante qui enregistre les premières étapes de la divergence. On trouve à la surface du globe différents types de marges passives, qui sont le reflet de processus géodynamiques différents enregistrés lors des étapes de leur genèse notamment dans leur couverture sédimentaire.
Comment débute la fracturation continentale?
En premier lieu, la croûte continentale s’étire et s’amincit. Ce phénomène se traduit par l’apparition de failles normales et de blocs basculés (voir point précédent) => C’est le stade fossé d’effondrement (ou stade rift). Le fossé ainsi crée peut se remplir d’eau => formation d’une mer peu profonde.
Est-ce que la marge continentale est active?
La marge continentale peut être active si elle correspond à une zone de subduction, ou passive si la plaque tectonique continentale et la plaque tectonique océanique sont au repos. Une marge continentale active est bordée d’une fosse océanique créé par la plongée de la plaque océanique sous la plaque continentale.
Quelle est la profondeur des marges continentales?
Les marges continentales sont divisées en une zone d’eaux profondes d’une profondeur allant jusqu’à 200 m, le plateau continental, les déchets au fond de l’océan, le talus continental et la région de pied du talus continental avec la transition vers le bassin profond d’une profondeur moyenne de 4 000 m.
Comment distinguer les marges passives de divergence?
On distingue sur les marges passives de divergence (ou marges d’arrachement) trois grandes unités morphologiques. Bordant la côte, la plate-forme continentale (ou plateau continental) est large de 70 kilomètres en moyenne, peu profonde (de 0 à 200 m) et doucement inclinée vers le large.
Quelle est la morphologie des marges actives?
En fait, la morphologie des marges actives dépend directement des phénomènes géodynamiques associés à la subduction, en particulier de l’accrétion tectonique et du volcanisme. Coupe schématique d’une marge continentale de convergence (arc insulaire actif).