Pourquoi aimer la polyvalence?

Pourquoi aimer la polyvalence?

Etre polyvalent permet au salarié de s’éloigner de la routine en diversifiant ses activités au sein d’une même entreprise. Il se nourrit de ses découvertes quotidiennes pour se motiver davantage et s’engager pleinement dans son travail. La polyvalence constitue une phase transitoire vers une évolution garantie.

Comment Appelle-t-on une personne Multitache?

« Naturellement, les humains sont mauvais en multitâches », note le blog Science of Us du New York Time Magazine. Parmi les êtres humains, il y aurait deux catégories, les gens normaux, et les autres, appelés « super-multitâches », qui semblent réussir sans effort à accomplir plusieurs choses en même temps.

Comment intégrer la polyvalence?

Intégrer de la polyvalence permet également de motiver chaque collaborateur, notamment en les incitant à se lancer dans de nouveaux objectifs, ou des missions complémentaires. Au delà de l’aspect « brise-routine », c’est aussi une façon de motiver les collaborateurs pour obtenir une promotion.

Quelle est la polyvalence dans le monde professionnel?

La polyvalence, dans le monde professionnel, est souvent une source de satisfaction des salariés, car elle permet d’éviter la routine en diversifiant leurs activités, mais elle n’est pas sans danger. Il convient donc de veiller à bien définir la fonction, le projet, les tâches du métier concerné et l’encadrer par une formation adéquate.

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Quelle est la polyvalence dans la chaîne de production?

La polyvalence est une réponse aux ruptures dans la chaîne de production. Longtemps considérée comme une exception, elle acquiert, de nos jours, une dimension nouvelle et une reconnaissance incontestable présentant un réel intérêt pour l’entreprise et pour le développement professionnel de nombreux salariés, mais avec des limites.

Quels sont les risques de la polyvalence?

Les risques de la polyvalence sont nombreux : – mauvaise formation de salariés concernés ; – surcharge de travail, qui entrainera une démotivation des collaborateurs ; – risque de  » salariés bouche-trou  » non formé et sous-payés ;

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