Pourquoi les offrandes sont des obsèques?

Les offrandes ne sont pas des obsèques ! Si vous donnez par obligation ou par devoir seulement, vous vous privez d’une appréciation toute spéciale de Dieu : Remarque: c’est le seul passage de la Bible où un amour spécial de Dieu est promis en résultat d’une action particulière.

Quelle est la valeur de l’offrande?

Ainsi, l’offrande est une démonstration de reconnaissance et un témoignage de notre dépendance à Dieu. Notre attitude est aussi importante que notre don. Les offrandes ne sont pas des obsèques ! Si vous donnez par obligation ou par devoir seulement, vous vous privez d’une appréciation toute spéciale de Dieu :

Quel est le montant absolu d’une offrande?

Jésus remarque le sacrifice relatif d’une offrande, non son montant absolu (un milliardaire qui donne 1 000 € par mois impressionne moins qu’un RMIste qui donne 10 € par mois). • « Jésus, ayant levé les yeux, vit les riches qui mettaient leurs offrandes dans le tronc. Il vit aussi une pauvre veuve, qui y mettait deux petites pièces.

Quel est le rapport entre l’association et le pasteur?

L’administration installe donc entre l’association et le pasteur un rapport d’employeur à salarié. L’un et l’autre ayant des droits et la possibilité de les faire valoir en justice.

Qu’est-ce que le pasteur?

Fiscalement le pasteur est un salarié ordinaire, mais quant au droit du travail il est plutôt reconnu en dehors des cadres établis. Être pasteur ne correspond pas à l’exécution d’un certain nombre de tâches, mais est considéré comme un état.

Pourquoi les églises reçoivent des pourboires?

Certaines églises reçoivent des pourboires dans leur collecte, et non des offrandes ! Jésus remarque le sacrifice relatif d’une offrande, non son montant absolu (un milliardaire qui donne 1 000 € par mois impressionne moins qu’un RMIste qui donne 10 € par mois).

Qui revient à l’Eglise pour payer les serviteurs de Dieu?

On pourrait dire actuellement que c’est la part qui revient à l’Eglise pour payer les serviteurs de Dieu. Mais il y a une seconde dîme, la dîme des festivités, mentionnée notamment en Deutéronome 12:10-18. Cette dîme-là devait être amenée au Temple et mangée par l’Israélite, sa famille, ses serviteurs et les sacrificateurs.