Quel est le feminin de apothicaire?

Quel est le féminin de apothicaire?

− Apothicairesse. 1. 1312 apotikairesse « femme de pharmacien (?) » (Médecine Franche Comté ds IGLF : à Ysabel l’apotikairesse, pour plusieurs choses); 1704 (Trév. : Apothicaresse ou Apothicairesse. C’est la femme d’un apothicaire […] il est bas en ce sens) − Trév.

Pourquoi Dit-on compte d’apothicaire?

Pourquoi parle-t-on de compte d’apothicaire? L’expression « compte d’apothicaire » désigne une facture dont le montant est tellement complexe et élevé, qu’elle est difficilement vérifiable. Les apothicaires, professionnels érudits étaient très respectés au sein de leur communauté.

Quel serait l’équivalent moderne du métier d’apothicaire?

La profession s’autonomisa au XVIII e siècle et l’apothicairerie fut progressivement remplacée par la pharmacie à partir du XIX e .

Où travaille l’apothicaire?

De l’apothicaire au pharmacien Il officialisait ainsi la pharmacie comme une branche de la médecine nécessitant des études et des connaissances approfondies. La loi du 21 germinal an XI (11 avril 1803) régira l’exercice de la pharmacie.

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Comment Écrit-on apothicaire?

 apothicaire apothicaire n.m. Sous l’Ancien Régime, préparateur, détenteur et distributeur des drogues utiles à…

Quelle est la fonction d’apothicaire?

La fonction d’apothicaire pourrait remonter à 2600 avant JC à Sumer où des textes médicaux, mêlés à des incantations religieuses, sont attestés sur deux tablettes d’argile dont les cunéiformes mentionnent des symptômes, des prescriptions et des conseils pour les combiner.

Quelle était la formation de l’apothicaire?

La formation de l’apothicaire était, dans ses débuts, exclusivement pratique, consistant en un long apprentissage des tours de mains nécessaires pour réussir les préparations. Les maîtres apothicaires se chargeaient, dans leur apothicairerie, de l’instruction des candidats à la maîtrise.

Quels sont les apothicaires dans l’Espagne musulmane?

Des apothicaires sont également présents dans l’Espagne musulmane dès le XI e siècle, ils utilisent notamment des grabadins, antidotaires arabes. Dès le V e siècle, Cassiodore recommande aux monastères et couvents de disposer d’un apotecarius qui a un rôle de médecin et de pharmacie.

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