Quelle est la consequence de la degradation dans les zones littorales?

Quelle est la conséquence de la dégradation dans les zones littorales?

Photo : Denise St-Jean. La dégradation ou la destruction de la couverture végétale dans les zones littorales causée notamment par le déboisement, la circulation de véhicules ou le piétinement affaiblit la résistance des milieux côtiers à l’érosion. Les sédiments ainsi mis à nu sont plus susceptibles d’être transportés par les vagues et le vent.

Quelle est la cause de l’érosion?

Près des tourbières exploitées, la concentration de l’écoulement des eaux favorise également le ravinement tout comme le déclenchement de glissements de terrain. Ravin créé par des eaux de drainage. L’aménagement d’un grand nombre de structures sur le littoral est une cause importante d’érosion.

Quelle est la hauteur de l’érosion marine en Gironde?

En Gironde, l’érosion marine a été la plus forte. On note un recul du trait de côte dépassant souvent 20 m et atteignant par endroits 30 m et même un maximum de 40 m à Soulac. Dans les Landes, l’érosion est globalement plus modérée que dans le Médoc.

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Quelle est la dynamique de la gestion des zones côtières?

Photo : Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières (LDGIZC), Université du Québec à Rimouski (UQAR). Sous l’effet du gel, l’eau contenue dans les roches sédimentaires poreuses et dans leurs fissures prend de l’expansion en passant de la phase liquide à la phase solide.

Comment les tempêtes accélèrent l’érosion?

Ces tempêtes accélèrent l’érosion des terrains en bord de mer et des plages. La dégradation ou la destruction de la couverture végétale dans les zones littorales causée par le déboisement, la circulation de véhicules ou le piétinement des randonneurs affaiblit la résistance à l’érosion.

Quel est le meilleur levier pour éviter l’érosion?

Autre levier possible, la préservation de zones naturelles, dénuées de toute urbanisation, sortes « d’espaces tampons » permettant « d’amortir le phénomène de l’érosion et surtout celui de la submersion, plus dangereux », souligne Patrick Bazin.

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