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Quelle est la représentation du réel dans un discours?
5 Selon Adam, Bourdieu, Ducrot, Ghiglione, Kerbrat-Orecchioni [3] [3] Respectivement 2005, 1982, 1998, 1986., etc., un discours ne se contente pas de décrire un réel qui lui préexiste mais construit la représentation du réel que le locuteur souhaite faire partager par son allocutaire.
Quelle est la grille de lecture d’un discours?
18Analyser un discours, c’est, conformément à ce que nous écrivions plus haut, rechercher dans l’énoncé, un certain nombre d’indicateurs. La grille de lecture que nous proposons est fondée sur l’étude des indicateurs énonciatifs, référentiels et organisationnels.
Quels sont les discours argumentatifs?
6 Les discours argumentatifs regroupent trois principaux types de textes (Boissinot, 1992) qui peuvent être démonstratifs, expositifs et dialogiques.
Quel est le plus important dans un discours?
Le plus important dans un discours est de rappeler aux auditeurs ce qu’ils ont appris au cours du discours. Si l’introduction leur annonce ce qu’ils vont apprendre et le corps de la présentation leur fournit les informations qu’ils doivent apprendre, la conclusion doit répéter ces idées une dernière fois .
Quels sont les différents types de discours?
Nous décrivons ici les différents types de discours auxquels peuvent appartenir un texte, leurs caractéristiques et l’objectif du locuteur lorsqu’il emploie ces formes de discours. Les identifier permet d’étudier en détail le texte qu’il vous est donné. Il existe 5 types de discours : descriptif, narratif, explicatif, argumentatif et injonctif.
Est-ce que le discours a un objectif performatif?
Le discours a ainsi un objectif performatif : c’est un acte volontariste d’influence. La plupart des discours, notamment politiques, publicitaires et managériaux, sont alors considérés comme appartenant à la classe des énoncés argumentatifs, dont la finalité réside dans la recherche d’adhésion du destinataire.
Quels sont les marqueurs de la conversation?
Les marqueurs y sont considérés comme ayant d’une part un fonctionnement argumentatif, d’autre part une fonction d’indicateurs d’une structure hiérarchique du discours. 5 Sont également importants les travaux d’E. Gülich, dès 1970, sur les « marqueurs de structuration de la conversation » en français.