Qui veux ou qui veut?
Il faut écrire : Pour moi qui veux changer d’horizon, c’est l’occasion rêvée ! Le pronom relatif « qui » se rapporte à un pronom de la 1re personne du singulier : il convient donc d’écrire « veux » et non « veut », qui correspondrait à une 3e personne !
Qui l’a fait ou qui l’a faite?
Immédiatement suivi d’un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable : ici, « faite » est suivi de « connaître ». Le participe passé ne s’accorde donc pas et on écrit « la société s’est fait connaître ».
Quelle est la différence entre veux et veut?
Quand on inverse l’ordre du sujet et du verbe, notamment dans les questions, on écrit veux-tu avec un trait d’union. Exemple : veux-tu m’épouser? L’orthographe veut existe aussi, mais seulement avec les sujets de la troisième personne du singulier ( il , elle , on ) : il veut , elle veut , on veut .
Quelle est la seule chose qui est certaine?
Il réalise que la seule chose qui soit certaine, c’est que nous sommes tous des sujets qui pensent et qui en sont conscients, d’où le “je pense donc je suis”. Je ne suis donc, précisément parlant, qu’une chose qui pense, c’est-à-dire un esprit, un entendement ou une raison.
Comment répondre à la question Qui suis-je?
Il n’y a pas de réponse claire et encore moins définitive à la question “qui suis-je”. Mais le fait même de se poser la question ouvre un chemin de réflexion qui permet d’abandonner nombre d’ illusions et d’ouvrir un nouveau chemin de vie. Tentons, en toute humilité, de répondre à la question qui suis-je et que suis-je.
Est-ce que le “moi” existe quand on ressent quelque chose?
Conclusion : le “moi” n’existe que quand on ressent quelque chose, et comme nos sensations et nos perceptions sont toujours changeantes (on n’est pas tous les jours tristes, on n’a pas tout le temps froid, et on n’a pas le doigt coupé en permanence).
Est-ce que notre conscience est subjective?
Elle est subjective : comme notre conscience n’est rien qu’à nous, nos pensées/idées/croyances nous appartiennent, et sont donc purement subjectives. En d’autres termes, notre conscience, c’est ce qui nous permet d’être lucide sur le moment présent, en ayant une idée claire de la situation dans laquelle on se trouve.